lundi 27 février 2017

Les subordonnées

En réalité, on devrait parler de propositions subordonnées. Les propositions subordonnées dépendent d’une proposition principale : cela veut dire qu’on trouvera au moins deux verbes conjugués dans cette phrase.
Les propositions subordonnées amènent un complément d’information.
Exemple : « nous devons réparer la lampe qui a grillé ».
« Qui a grillé » apporte un complément d’information à cette lampe que nous devons réparer, surtout s'il y a plusieurs lampes à l'endroit où nous nous trouvons.

Quand vous avez une proposition subordonnée dans une phrase, vous devez obligatoirement avoir deux verbes conjugués. C’est très important pour votre relecture, une fois que vous aurez fini d’écrire.

vendredi 24 février 2017

Exercice 5 : le retour

Décembre sous la neige
Sans doute vous souvenez-vous de cet exercice. Vous allez maintenant reprendre votre texte et le corriger : corrigez les fautes d'orthographes d'abord, puis les fautes de syntaxe (les tournures lourdes, par exemple) et enfin les fautes grammaticales et de conjugaison. N'ayez pas peur de réécrire, c'est un bon exercice.
Et, tout à la fin, relisez votre texte à l'envers : en commençant non seulement par la fin, mais par le dernier mot de la fin. Est-il correctement écrit? A quel autre mot se rapporte-t-il? N'y a-t-il pas de faute de genre (un ou une) ou de faute de nombre (des "s" oubliés, par exemple)?

lundi 20 février 2017

Les phrases complétives

En réalité, on devrait parler de propositions complétives. Ces propositions sont en fait des subordonnés et répondent à la question « quoi ? ». En clair, une proposition compétitive est le COD (c’est-à-dire le complément d’objet direct) d’une proposition principale.
Exemple je crois que tu vas réussir ce concours.
Je crois quoi ? Que tu vas réussir ce concours.

Que tu vas réussir ce concours est donc le complément d’objet direct de « je crois ».

vendredi 17 février 2017

Retour sur l'exercice 4

Vous allez maintenant reprendre l'exercice 4, le relire et en corriger les fautes.

lundi 13 février 2017

Pour aller plus loin avec la loi NOTRe

Voici deux articles très intéressants sur la loi NOTRe :
Le premier article peut être lu par tous. Le second peut être lu uniquement par les futures catégories A (mais vous pouvez le lire même si vous visez un concours de catégorie B ou C, bien sûr!).

http://www.lemonde.fr/les-decodeurs/visuel/2015/05/28/que-change-la-loi-notre-pour-les-collectivites-territoriales_4642897_4355770.html

http://www.cnfpt.fr/sites/default/files/cnfpt_panorama_dispositions_loi_notre_aout_2015.pdf

vendredi 10 février 2017

Exercice 7

Plus vous allez vous entraîner à l'écrit, plus vos écrits seront meilleurs. Et moins vous souffrirez du poignet ou des doigts à force d'écrire vite.

Quel est votre meilleur souvenir de vacances?

Les personnes qui souhaitent passer un concours de catégorie C essaieront d'écrire 25 lignes, ceux qui visent un concours de catégorie B, 35 lignes et ceux qui visent un concours de catégorie A, 45 lignes!

lundi 6 février 2017

Qu'est ce que la loi NOTRe?

C'est une question qu'on pourrait vous poser à l'oral d'un concours de catégorie A ou B.

La loi NOTRe (Nouvelle Organisation Territoriale de la République) a été promulguée le 7 août 2015. Elle est le troisième et dernier volet de la loi sur la décentralisation. Elle concerne donc les compétences locales : régions, départements, communautés de communes, et communes.
Il se murmure que la loi NOTRe a d'abord été pensée pour diminuer au maximum le pouvoir des départements, sinon pour détruire ces départements. Or il se trouve, à la lecture de la loi, que les départements en sortent renforcés.
La loi NOTRe redéfinit les compétences des régions et des départements. Ainsi, depuis le 1er janvier 2017, les régions sont compétentes pour les transports scolaires à l’exception du transport des élèves handicapés. Cependant, le département reste l’instance qui travaille sur la cohérence des territoires et sur la solidarité.

De même, les intercommunalités en sortent également renforcées. Les intercommunalités, ce sont, par exemple, les communautés de communes.

vendredi 3 février 2017

Exercice 6 : correction

Le statut « STATUT » signifie (présent de l’indicatif) ce qui a été statué (le sujet est « qui »), (le temps est du passé composé de l’indicatif à la voix passive). En clair, cela signifie (présent de l’indicatif) qu’il y a (présent de l’indicatif) une décision juridique, voire une ordonnance, qui a été prise (sujet : « qui ») (passé composé de l’indicatif à la voix passive) au sujet de la Fonction Publique.
Il ne faut (présent de l’indicatif) pas confondre avec une statue « STATUE », qui est (sujet : « qui ») (présent de l’indicatif) un ouvrage en trois dimensions, avec un but souvent culturel, réalisé par un humain.
Il ne faut (présent de l’indicatif) pas le confondre non plus avec le status « STATUS », mot qui est utilisé (sujet : « qui ») (passé composé de l’indicatif à la voix passive) en sociologie pour expliquer la position d'un individu dans une hiérarchie économique, sociale ou même culturelle.


Une première loi existait (imparfait de l’indicatif) sur le statut de la Fonction Publique. Elle datait (imparfait de l’indicatif) de 1946. Cette loi reconnaissait (imparfait de l’indicatif) en particulier le droit syndical aux fonctionnaires et instituait (sujet « cette loi »)(imparfait de l’indicatif) les instances paritaires de concertation. Cependant en étaient exclus  (sujet : les militaires, les diplomates, les préfets et les sous-préfets, on parle d’un sujet inversé) (imparfait de l’indicatif à la voix passive) les militaires, les diplomates, les préfets et les sous-préfets.
En 1980–1981, François Mitterrand, alors candidat à la Présidence de la République française, propose (présent de l’indicatif) de retravailler le statut de la Fonction Publique. Une fois élu, il tiendra (futur de l’indicatif) parole, puisque les lois sur la Fonction Publique apparaîtront (futur de l’indicatif) de mi-1983 à janvier 1984.
Nous avons (présent de l’indicatif) donc aujourd’hui quatre grandes lois :
  •      la loi numéro 83–634 du 13 juillet 1983, qui parle (sujet : « qui ») (présent de l’indicatif)des droits et obligations des fonctionnaires ;
  •      la loi numéro 84–16 du 11 janvier 1984, sur la Fonction Publique de l’État ;
  •      la loi numéro 84–53 du 26 janvier 1984, sur la fonction publique territoriale
  •      et la loi numéro 86–33 du 9 janvier 1986, sur la fonction publique hospitalière.


Notons (impératif présent) que des textes particuliers régissent (présent de l’indicatif) magistrats et militaires.

Alors, qui n'a fait aucune erreur?